Encore un… croisons les doigts pour que l’association organisatrice trouve une autre date.
Et surtout, pensez gestes barrière et prenez soin de vous et de vos proches.
À très vite !
Encore un… croisons les doigts pour que l’association organisatrice trouve une autre date.
Et surtout, pensez gestes barrière et prenez soin de vous et de vos proches.
À très vite !
Communiqué de presse :
Organisé par l’association Kinereth Bnai Brith d’Enghien, en partenariat avec la librairie enghiennoise Crocolivre, le Salon du livre spécial jeunesse qui devait se tenir le dimanche 8 mars est malheureusement annulé pour des raisons de précaution.
Dans son mail, l’organisatrice parle de report. À voir si une autre date est trouvée un peu plus tard cette année. Croisons les doigts !
C’est avec beaucoup de joie (bien qu’un peu en retard) que je vous annonce la parution, depuis le 15 février 2020, de l’ultime tome de la saga Les Puissances de Nilgir !
La Forteresse de Gemme
Les Puissances de Nilgir tome 4
Fantasy jeunesse
336 pages
à partir de 10 ans
ISBN 979-10-94140-44-4
A peine Ellora délivrée de la Cité d’argent, des pirates capturent ses sauveteurs, Owen et Maël, pour les vendre sur le tristement célèbre marché aux esclaves de Garamantes.
Line et Léonie sont, elles, emmenées en direction de la Forteresse de Gemme où Miranda, leur ennemie jurée, décidera de leur destin.
Mais les jeunes gens n’ont pas dit leur dernier mot. Plus que jamais, la flamme de la liberté brûle en eux, prête à se propager aux opprimés de ce monde…
Vous pouvez dès à présent commander la version papier en librairie ou en contactant Yucca Éditions.
Comme pour les précédents tomes, la couverture et les illustrations intérieures sont signées de ma talentueuse sœur, Ophélie La Porte.
Et voilà, une page se tourne pour cette saga. Désormais, elle vous appartient entièrement…
Retrouvez-moi demain et dimanche au salon du livre d’Île de France, à Mennecy (91) !
Plein de choix dans ce vaste salon, j’y serai avec mes trois tomes, en attendant le petit dernier qui se trouve actuellement presque au bout des tuyaux éditoriaux !!
Mes premiers mots sur le blog en 2020 pour vous souhaiter une très belle année 2020, avec la santé en tout premier lieu (dit-elle avec la goutte au nez), et la réussite dans tous vos projets, personnels et professionnels, et même ceux qui se trouvent un peu entre les deux.
J’adore lire les bilans et les objectifs qui fleurissent sur les blogs à cette période de l’année, aussi je me suis dit que j’allais m’y mettre aussi, pour une fois.
Une année très remplie sur le plan personnel, parce que la naissance d’un enfant, ça prend forcément une place particulière.
J’ai été beaucoup moins active sur le blog, j’ai décidé de me retirer complètement des réseaux commersociaux.
J’ai écrit. J’avais l’impression de n’avoir pas fait grand-chose, de m’être un peu traînée tout au long de la route, et pourtant, je n’ai pas à rougir de mon bilan, compte tenu de mon actualité familiale :
Au final, j’ai assez bien travaillé, même si le premier jet a été le plus lent que j’aie jamais écrit (environ six mois, pour un roman qui fait le tiers d’un Nilgir, écrit en général en deux fois moins de temps). Une lenteur causée par les aléas familiaux, le format choisi (« vrai » roman jeunesse, concision oblige), le poids de mes attentes face à ce roman, le premier que j’aie écrit depuis mes cycles de bêta-lecture (je connaissais mes « mauvais penchants » et je m’efforçais de ne pas y tomber, résultat, j’ai trop réfléchi et me suis bloquée toute seule régulièrement).
Je suis contente de mon bilan d’écriture de 2019. Mais je suis fière de mon bilan d’autrice. Parce que je n’avais qu’un seul réel objectif en début d’année : aller à la rencontre des éditeurs et éditrices pour proposer et défendre mes romans. Et j’ai réussi.
Je ne suis pas très à l’aise, à l’idée d’aborder des inconnus en salon pour leur présenter mes livres… Et pourtant, je le fais quand je suis derrière la table de dédicace ! Mais là, c’est très différent. Aussi, j’ai essayé de participer à toutes les sessions de speed-dating dont j’ai entendu parler et j’ai été prise à deux d’entre elles (sur trois). J’ai pu participer au speed-dating des Imaginales, mais surtout, à celui de la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse, à Montreuil.
Deux expériences très prometteuses, qui m’ont aussi bien donné des contacts utiles, qu’appris à présenter mes projets à des professionnels (c’est très différent de la présentation à un potentiel lecteur ou une potentielle lectrice).
Désormais, Le Prospecteur est dans la file d’attente de nombreux comités de lecture. On va voir ce que ça donne.
Juste pour la rime ^^ Honnêtement, je ne crois pas aux « tournants », à l’année particulière où tout va basculer. Je compte simplement continuer à tracer ma route d’autrice, à écrire le plus possible. C’est ça, mon véritable métier.
Mais clairement, l’année 2020 est celle où je dois capitaliser les rencontres faites en 2019. Mon ticket d’Émergente est valable cette année, il ne faut pas qu’il se périme. Mes objectifs d’écriture sont donc simples :
En parallèle, mon activité d’autrice comptera :
Eh bien, avec tout ça, je n’ai plus qu’à me remettre au travail. À très vite !
J’aurais dû publier cet article il y a trois semaines, mais le temps est plus rare et plus précieux que l’or par ici, en ce moment…
Bref, j’ai l’immense joie de vous annoncer que ma nouvelle, La voix du djembé, est l’une des douze lauréates du concours « Émergences ! » organisé pour la deuxième année consécutive par la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse. Je vous assure, voir mon nom écrit dans un article d’Actualitté, ça claque ! Et ce n’est que le début des réjouissances qu’offre cette sélection…
À bientôt !
Crédit photo : Sergey Zhesterev sur Unsplash
Je ne suis pas partie au pôle Sud. Ni sur Mars. En fait, j’en reviens. De Mars, pas du pôle Sud (cf. un peu plus loin). Si seulement, d’ailleurs.
J’ai eu un deuxième bébé. Et vous savez quoi ? Avoir des enfants, ça occupe ! Non seulement on doit veiller sur un nouveau-né (je l’ai surnommé le petit koala, celui-là, devinez pourquoi), mais en plus on doit gérer le premier qui a la bonne idée de faire justement sa crise d’ado des deux ans en même temps, à moins qu’il ne soit en train de s’habituer à la perte de son statut d’enfant unique. Allez savoir.
Et moi, et mon écriture, on devient quoi dans tout ça ? Déjà, vous avez peut-être remarqué que vous ne me trouvez plus sur les autres réseaux sociaux commerciaux (je récupère une expression qui fait beaucoup sens à mon avis, je l’ai glanée sur ce blog que je vous recommande fortement). Si vous avez eu peur pour ma vie (comme ma pauvre éditrice, encore désolée Stéphanie), je vous rassure : je suis toujours là, j’ai juste décidé de vivre autrement.
Je vous parlerai plus longuement dans un autre article de cette déconnexion des réseaux. En attendant, sachez simplement que je ne suis pas restée inactive depuis décembre dernier. Nilgir 4 a reçu un premier round de corrections éditoriales, mais entre ma maternité, et d’autres contraintes dans les vies des gens qui travaillent avec moi sur ce projet, le roman n’est pas encore sorti, ça ne vous a peut-être pas échappé ?
Bref, Nilgir 4 est dans les tuyaux, des tuyaux peut-être un peu rallongés, mais sa parution se prépare.
En parallèle, j’ai bouclé un roman pour adultes, celui qui se passe sur Mars. Je l’ai fait partir chez plusieurs éditeurs début juin. Je m’arme maintenant de patience, mais je n’aurai pas de résultats (dans un sens ou dans l’autre) avant plusieurs mois. Si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous propose de jeter un coup d’œil sur cette nouvelle page du site, qui récapitule les projets non encore édités.
Et maintenant ? Eh bien, je jongle entre les deux loupiots, qui profitent d’un été entier avec leur môman, avant ma reprise de travail. Pour ne pas devenir chèvre (et pour perdre environ un million de kilos), j’ai décidé d’utiliser le créneau habituellement réservé à l’écriture (celui de l’aube) à une activité sportive. L’écriture attend la sieste des garçons, pour les jours où ils ont l’obligeance de la faire en même temps.
Avec ce planning aléatoire, pas évident de se lancer dans un nouveau projet. Et pourtant, j’en ai à la pelle, des idées de romans. J’ai décidé de commencer tout doucement un nouveau roman jeunesse, dans une veine humoristique pour changer (un genre de Shrek à la sauce « mythologie hindou »). Entre les recherches documentaires et les galères du début de roman, j’avance au rythme d’un escargot asthmatique. Mais c’est normal, quand on ne sait pas si on est jardinière ou architecte (autrement dit, quand on tâtonne entre plusieurs méthodes), et qu’on n’a pas écrit un nouveau roman depuis 2016.
Voilà, je reviens dans quelques jours pour parler réseaux et déconnexion. Et je retourne sur l’assemblage de mes bouts de scène pour cet incipit. Au fait, son nom de code : Airavata.
Crédit images : Lightscape sur Unsplash
En écho à la polémique des dernières semaines sur Livre Paris, un petit retour sur la façon dont est réparti le prix de chaque livre que vous achetez, et comment les auteur·e·s en (sur)vivent.
Cette semaine, une personne m’a demandé, avec candeur :
— Mais au fait, combien tu gagnes en tant qu’auteur ?
— 1 euro 50 par livre (prix de vente 15 euros). Et encore, en tant qu’auteure jeunesse, j’ai un éditeur qui m’a accordé des droits d’auteur importants par rapport à ce qui se pratique dans le milieu, ça peut descendre à 70 centimes.
Grands yeux effarés de mon interlocutrice.
Eh oui, si on veut gagner sa vie en écrivant, être auteur·e de fiction, jeunesse qui plus est, dans les littératures de l’imaginaire (moins diffusées et donc moins vendues que la littérature générale), c’est compliqué.
J’ai trouvé sur un site du ministère de la Culture une infographie qui donne une bonne idée de la répartition du prix d’un livre entre les différents acteurs de la chaîne :
EDIT : mon éditeur me fait remarquer que le graphique ne précise pas la part de cotisations sociales (eh oui, l’auteur aussi paie ses impôts), la TVA n’est pas non plus indiquée ; par ailleurs, la répartition sur les postes après travail éditorial (fabrication, diffusion, etc.) est probablement basée sur les chiffres des (très) grandes maisons d’édition… le gâteau est partagé un peu différemment pour les petites maisons, mais le principe reste le même ! (et comme quoi, même une source sérieuse comme un ministère n’est pas exempte d’erreurs)
C’est terrible, hein ? L’auteur·e, qui est à la base de toute la chaîne du livre, sans qui il n’existerait juste pas, est aussi le·la moins rémunéré·e. Encore une fois, les droits d’auteur·e annoncés sur cette infographie sont une moyenne, certain·e·s touchent plus (comme moi, à 10% sur le premier tirage, 12 % sur le second – les auteurs de best-seller gagnent plus, s’ils savent tirer leur épingle du jeu), d’autres moins.
Les auteur·e·s jeunesse, notamment, peuvent être rémunérés beaucoup moins (ça descend jusqu’à 4%), en raison d’une tradition qui voulait qu’on répartisse les frais entre auteur et illustrateur. Ce qui paraît logique, à défaut d’être normal… sauf quand il n’y a plus d’illustrateur à rémunérer pour la bonne raison qu’il s’agit d’un roman non illustré (hors illustration de couverture : dans ce cas précis, l’éditeur rémunère généralement l’illustrateur sous forme de forfait).
Mais alors comment un·e auteur·e peut-il·elle vivre de sa plume ?
Soit il·elle vend beaucoup (beaucoup (beaucoup)) de livres chaque année. Je ne vais pas vous mentir, à moins d’être publié chez un des grands éditeurs français, ça ne peut matériellement pas arriver : il faut être distribué un peu partout, avoir accès aux têtes de gondoles, ou aux grands prix littéraires, sans parler d’un succès public.
Les auteurs qui ne font pas des best-sellers tout en ayant des succès honnêtes ne vivent pas uniquement de leur plume, ils survivent en multipliant les activités annexes : interventions en milieu scolaire pour les auteurs jeunesse, ateliers d’écriture, conférences, etc.
Heureusement que cette possibilité existe. Sauf qu’il s’agit d’un travail à part entière, qui nécessite une préparation en amont, sans parler de la prestation en elle-même. Du temps pendant lequel l’auteur·e… n’écrit pas (ou ne corrige pas, ou n’assure pas la promotion du livre publié).
Tout travail mérite salaire, pas vrai ? Ce postulat n’est pas évident pour tout le monde, cf. la polémique sur Livre Paris. Fort heureusement, les auteur·e·s ont compris que l’union fait la force. Plusieurs organisations défendant les auteur·e·s, dont le mouvement #Payetonauteur et surtout, l’association de la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse, dont c’est un combat depuis plusieurs années, ont obtenu gain de cause, à savoir, tout simplement, que les auteur·e·s intervenant pour l’animation de Livre Paris soient rémunéré·e·s pour ce travail, au même titre que les équipes de logistique ou… les plantes vertes.
Chapeau à tou·te·s ceux·elles qui se sont mobilisé·e·s pour rendre cela possible et surtout, visible. Et, je l’espère, ce n’est qu’un début !
Pour plus d’informations sur ce combat et sur le problème de la rémunération des auteurs, je vous invite à consulter les liens suivants :
Illustration : Sandrine Bonini
Infographie : Site du Ministère de la Culture
2017 touche à sa fin, déjà… Le blog n’a que quatre mois, mais je voudrais quand même faire un petit bilan de 2017 et esquisser ce qui se produira en 2018… Ou en tout cas, je l’espère !
Je sais, je suis en avance : le 20 décembre, c’est encore un peu tôt pour faire le bilan de fin d’année, mais j’ai prévu de passer les dix prochains jours loin du Net et même de l’écriture… dans une certaine mesure : je vais relire les trois tomes de Nilgir, ça compte ?
Déjà, je suis devenue maman. Si si, ça a un lien avec l’écriture : le temps que je peux y consacrer est forcément diminué (à écrire mais aussi à promouvoir en participant à des salons ou des dédicaces) ; mais aussi ma manière d’envisager mes histoires. Petit exemple : j’ai longtemps ramé sur un roman cette année, et l’une des révélations qui m’ont enfin débloquée et permis de terminer, c’est que deux de mes personnages ne formaient pas seulement un couple… ils avaient aussi une petite fille. C’est quand j’ai compris ça qu’ils ont pu prendre toute leur profondeur, toute leur complexité. Comme quoi, notre vie personnelle impacte forcément notre sensibilité d’écrivain. Ce qui est une bonne chose, pas vrai ?
Par ailleurs, le troisième tome de Nilgir est paru. Entre l’accouchement (jour où les corrections éditoriales sont tombées ^^ ) et les changements de couches, on a réussi avec Yucca Éditions et Ophélie à sortir un beau roman, je trouve (mais je ne suis peut-être pas la plus objective sur ce sujet…)
Et surtout, j’ai réécrit entièrement le Prospecteur. De la SF pour adultes, qui chemine à travers le cycle de bêta-lecture de CoCyclics. Cette réécriture a eu lieu grâce à la synthèse détaillée qui m’avait été faite en 2016, qui consistait en un commentaire des fondations du roman. Comme j’ai choisi de le réécrire, vous vous doutez du niveau de stabilité de la chose à l’époque.
Pour finir, je ne peux pas faire de bilan sans mentionner le blog (et le site). Tout cela prend du temps, mais j’aime beaucoup l’exercice. Il me permet aussi de garder un rythme d’écriture, puisqu’il s’agit là aussi d’aligner des mots.
Tout ça, c’est ce qui s’est passé niveau écriture, « dans les coulisses », en 2017. Côté public, il y a eu aussi de chouettes moments. Par exemple, cette petite fille qui a voulu commencer à lire la saga par son deuxième tome (pour ensuite acheter le premier). Ou cette prof qui a voulu offrir L’Oeil de Tolmuk à un de ses élèves pour l’encourager dans son goût de la lecture. Je suis heureuse d’avoir ce blog et surtout ces brèves de salons, qui me permettent de conserver un souvenir plus durable de ces rencontres, de ces instants de lecture, en même temps que les noms de ceux pour qui je dédicace mes livres (j’en garde une trace dans un carnet spécial).
En 2018, il y a un moment très important pour moi : celui où je vais apposer le mot « fin » à ma saga. Les Puissances de Nilgir m’accompagnent depuis plusieurs années (2011 dans la version actuelle), j’ai hâte de raconter la fin de l’histoire, tout en redoutant l’adieu à des personnages et des lieux que je connais si bien. Mais il faut bien s’arrêter un jour, pas vrai ? Quoi qu’il en soit, le premier jet de ce tome 4 va occuper le premier trimestre (et sans doute déborder un peu sur le second).
En parallèle, mon Prospecteur passera en troisième phase de bêta-lecture sur CoCyclics : deux personnes vont se pencher dessus et le décortiquer, pour me dire si cette réécriture fonctionne bien. Je suivrai leur progression avec curiosité (et un peu d’angoisse, je l’avoue), et m’efforcerai d’attendre un peu avant de recommencer à travailler dessus (c’est-à-dire entamer la quatrième phase).
Et pendant les « temps morts », entre deux phases de travail sur l’un ou l’autre, je trouverai bien de quoi m’occuper… J’ai plein d’histoires dans les cartons. Ces temps-ci, deux d’entre elles me démangent particulièrement : un roman jeunesse sur un éléphant mythologique ; et un petit space-opera sur un vaisseau qui a quitté la Terre avec à son bord des colons très très organisés, probablement plus tourné vers les ados/jeunes adultes. Et qui sait, peut-être qu’une nouvelle ou deux arriveront à boucher les trous. On verra bien ce qui arrive, sachant que ma priorité est de terminer Nilgir.
Niveau blog, je compte bien continuer sur ma lancée, partager mon quotidien, mais aussi vous offrir une fenêtre, à vous lecteurs, pour qu’on vous voie un peu, à votre tour 😉
Quoi qu’il arrive, je vous souhaite à tous de très belles fêtes de fin d’année et une année 2018 pleine de découvertes, de lectures et peut-être, d’écriture.
Crédit photo : Ian Schneider et Joanna Kosinska sur Unsplash
Bienvenue par ici ! Après plusieurs années à animer un site internet présentant un échantillon de mes écrits, j’ai eu envie de changer de formule. Les prochains mois vont me permettre de tester de nouvelles pratiques, un nouveau format d’expression.
Il existe de nombreux blogs d’auteur, riches et variés, techniques ou pas, avec ou sans chroniques de lectures (un auteur est souvent un grand lecteur), etc. Longtemps, je me suis dit que je n’apporterais rien de plus en ouvrant à mon tour un blog. Pourtant, de plus en plus, j’avais envie de parler de sujets qui me tiennent à cœur. J’avais aussi soif d’interactivité. Les outils à ma disposition (site, page ou compte sur les réseaux sociaux) se complétaient à peu près pour couvrir ces envies, mais il me restait quand même un « goût de pas assez ».
En parallèle, mon site, bien que fonctionnel et esthétique, avait besoin d’un coup de neuf.
Petit à petit, la conviction s’ancrait dans mon esprit : j’avais besoin d’un espace pour communiquer et surtout, échanger. Par dessus tout cela, les différentes facettes de ma vie sont appelées à se télescoper de plus en plus (je vous ai parlé de Petichat ?). Au premier abord, un blog – autrement dit un truc en plus à gérer – est la dernière chose dont j’aurais besoin. Sauf que blog est synonyme de régularité, d’organisation, de rigueur (en tout cas, tel que je le conçois). Je crois que le tenir me permettrait de mieux gérer mon temps pour le reste.
Et de toute manière, j’ai horreur de ne faire qu’un truc à la fois.
J’ai prévu des sujets variés, gravitant autour de l’écriture. Dans le programme que je me suis donné, il y a quatre catégories principales :
Dans l’idéal, il y aura un article par semaine. On va voir si j’arrive à m’y tenir d’ici la fin de l’année ! (Qui prend les paris ?)
Hem hem, j’aurais peut-être dû commencer par là, mais en fait, je trouve plus intéressant de parler de mes histoires que de moi (vous serez d’accord, je n’en doute pas).
Je suis une auteure (oui, je préfère ce néologisme au terme « autrice », qui nous vient d’une époque pré-mazarine). Je privilégie pour l’heure les domaines de la science-fiction et de la fantasy (mais ça peut changer, tout dépend des idées).
Mon premier travail publié est une saga de fantasy jeunesse, Les Puissances de Nilgir (Éditions Yucca). Vous trouverez plus d’informations sur mes textes publiés ici. J’ai également d’autres projets sur le feu, mais on en parlera (peut-être) plus tard !
J’aime écrire, lire et manger (et pas toujours dans cet ordre). Et surtout, j’aime partager.
Ce blog est aussi le vôtre, chers lecteurs et chères lectrices. N’hésitez donc pas à intervenir dans les commentaires.
À la semaine prochaine pour une première plongée de l’autre côté de la page !
Crédit photo : edar sur Pixabay